Que ça calcule
tes doigts dansent sur le clavier
la chaleur d'août.

Le soleil brille
dans tes yeux si doux
l'été trébuche.

L'ombre des oiseaux
caressait sa peau
il mangeait de la noix de coco.

Leurs regards provoquent des braises
des lèvres s'embrassent
le soleil d'été s'embrase.

Une douce coccinelle
sur une assiette d'été
prend son envol.

Le soleil levant
influence-t-il
les saveurs hivernales?

Les ennuis sonnent
je viens à la porte
je la ferme à double tour.

Noël annonce l'effervescence
serait-ce l'amour
ou les bulles du champagne?

Ma jonquille printanière
au soleil étendue
me rend heureuse et amoureuse.

Comme une bouffée d'air printanier
ton regard se pose sur moi
je serre fort ta main.

Après un orage
tout près de toi
le soleil brille.

Un grain de sable
chaud comme l'été
caresse ta peau dorée.

Au bout de la rue
un camion se prépare
le grand voyage s'annonce.

Les épines se fatiguent
sous le soleil de Novembre
les oiseaux picorent.

À l'abri des regards
les oiseaux se cachent
dômes de feuilles.

Les aiguilles vertes
sur le ciel bleu
est-ce qu'ils se touchent?

L'eau est remuée
les vagues se forment
je n'ai plus faim.

Le soleil d'hiver
m'apporte son manteau chaud
ou bien est-ce mon coeur?

Un labyrinthe sombre
mène à un couloir
je ne veux pas ouvrir cette porte.

Une grande cerise
orne la terrasse
suis-je sur un gâteau?